Anxiété, que dis-tu ?

Et si l’anxiété n’était pas qu’un mal-être, mais un cri du cœur en quête de paix ?

1. L’anxiété : un moment de dépouillement total

Parfois, dans les difficultés, tout peut s'effondrer : nos repères, nos sécurités, même l’image que nous avions de nous-mêmes. En psychologie, on appelle ce moment de vacillement une désorganisation structurelle. C’est l’effondrement des repères intérieurs. Tout devient flou ; on n’a plus les idées claires, on n’arrive plus à réfléchir. C’est une sorte de chaos intérieur.
L’anxiété surgit souvent dans ces moments. Elle te dit : « Je suis dépassé(e). Je ne sais plus comment tenir. J’ai peur. »


À ce moment-là, tu cherches désespérément une solution. Tu veux comprendre, retrouver ton calme, sortir du chaos. 

Et ton besoin le plus profond est d'avoir la paix.

Bonne nouvelle ! Je connais celui qui s’occupe de la gestion de ce trésor : 
 « Car un enfant nous est né, un fils nous a été donné… On l'appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix. » – Ésaïe 9:5


Christ, qui est le gestionnaire, ne donne pas seulement la paix, Il EST la paix.
On l’appelle Emmanuel, Hosanna, notre Sauveur, le Messie… mais n’oublions pas : le Prince de la paix.

2. Ce n’est pas stérile

La peur et le stress ont leur utilité : dans certaines situations, ils nous préparent à réagir face à un danger ou à relever un défi. Mais lorsqu’ils deviennent excessifs, chroniques ou irrationnels, ils ne sont plus des alliés : ils deviennent le reflet d’un déséquilibre intérieur.

Les émotions qui surgissent alors ne sont pas à fuir. Elles sont comme des signaux silencieux d’un cœur en manque. Mais un manque de quoi ?
D’une présence bien plus grande que le tumulte…
Un manque du Prince de la paix.

Lui seul connaît parfaitement ce dont nous avons besoin.
Il est le seul véritable refuge, compétent et fidèle pour apaiser notre cœur.

Mon bien-aimé(e), si aujourd’hui tu te retrouves dans une situation semblable à ce que je viens de décrire, rappelle-toi d’une chose :
« Toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu. » – Romains 8:28

Ce que tu vis peut devenir un puits où Dieu t’enseigne l’abondance de sa grâce et la vérité de ton identité en Lui.

3. Lieu de transformation

L’épreuve nous confronte à notre fragilité, mais la Parole nous rappelle que c’est justement dans cette faiblesse que Dieu déploie Sa puissance :
 « Ma grâce te suffit, car ma force s’accomplit dans la faiblesse. » – 2 Corinthiens 12:9

Ce que tu perçois comme une limite n’est pas un obstacle pour Lui, mais un espace où Sa puissance peut se manifester pleinement.

Souvent, l’anxiété vient attaquer notre identité, susurrant : « Tu n’y arriveras pas », « Tu es seul », « Tu n’es pas à la hauteur ».
Pourtant, l’épreuve peut devenir un sanctuaire où Dieu restaure ton image – non selon la peur, mais selon la vérité de qui tu es en Lui.

Conclusion

Ce que tu traverses aujourd’hui peut devenir bien plus qu’un moment de douleur : un lieu secret de transformation, un laboratoire invisible où Dieu te façonne.
Si tu Lui remets ce que tu vis, Il saura en faire un lien de croissance, un chemin vers la paix et la solidité intérieure.

24 ans, passionnée par Dieu et par les détails de Sa création…

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