Le livre du mois – « Choisir la reconnaissance », de Nancy Leigh DeMoss

Crédits photo : xl6.com

Nos recommandations lectures reprennent, avec un article de Becky, 22 ans, étudiante en 3e année en sociologie à Québec.

 Ami(e)s Rébellutionnaires !

Voici un livre qui m’a rappelé que la reconnaissance n’est pas une option, mais une affaire de tous les jours ; elle « est vitale et nous transforme ».

Nous avons tant à être reconnaissants, car oui, sans l’œuvre accomplie à la croix, le salut ne serait pas une option pour nous aujourd’hui ! Mais  dans les préoccupations et les tourments de la vie, on perd bien souvent le focus et la reconnaissance devient une option.

Pourtant, il est dit dans Psaume 50.23 que « celui qui offre sa reconnaissance, celui-là me rend gloire et il prend le chemin où je lui ferai voir le salut que Dieu donne ». La reconnaissance glorifie le Seigneur et doit donc faire partie intégrante de nos vies. L’auteur du livre met en avant huit raisons fondamentales pour lesquelles il nous faut choisir la reconnaissance :

  • La reconnaissance est une question d’obéissance (Psaume 50.14) ;
  • Elle nous rapproche de Dieu (Psaume 22.4) ;
  • Elle produit la paix (Philippiens 4.6-7) ;
  • Elle est la jauge du cœur (Psaume 140.4) ;
  • Elle est la volonté de Dieu (1 Thessaloniciens 5.18) ;
  • Elle prouve que l’on est rempli du Saint-Esprit (Éphésiens 5.20) ;
  • Elle reflète la personne de Christ (Jean 11.41) ;
  • Enfin, elle nous prépare pour le ciel (Apocalypse 11.17).

« La reconnaissance qui émane de notre cœur est-elle aussi abondante que la grâce qui y a été répandue ? » Voilà une question qui vient me remettre en question et qui me pousse davantage à cultiver ce cœur reconnaissant envers mon Sauveur. Que cela devienne une réaction spontanée en toute circonstance.

Enfin, je terminerai par une belle citation de Joni Eareckson Tada dans ce livre :

« Je suis reconnaissante pour ma tétraplégie. C’est cette douloureuse bénédiction, ce “cadeau enveloppé de noir”, ce sombre compagnon de tous les jours, qui me tire et me pousse dans les bras du Sauveur. Et c’est là que se trouve la joie ! »

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Becky

Becky, 22 ans, est étudiante en 3e année en sociologie à Québec.

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